fbpx

July 2020

la planete et la pandémie de covid-19

Élucidez la pandémie du Covid-19 avec Zach Bush MD

Pour comprendre la réalité qui sous-tend la pandémie, il faut écouter et comprendre le médecin américain Zach Bush MD, qui fait le pont entre plusieurs disciplines afin d’élucider la pandémie du Covid-19.  Cet éminent médecin est reconnu par ses pairs en médecine fonctionnelle comme un ‘’Einstein de la médecine’’ et est un des rares à être trois fois ‘’Board certified’’ dans le monde.  Zach Bush relie l’importance de la biodiversité sur terre et de notre microbiome avec l’appauvrissement des sols, l’agriculture et l’augmentation dramatique des toxines générées par l’activité humaine.  Il dénote comment l’utilisation des glyphosates dans les pesticides utilisés notamment sur les cultures conventionnelles et OGMs est un perturbateur virulent sur la santé de la population et l’incidence en hausse des maladies chroniques est clairement liée depuis leur apparition entre 1976 et 1980. Voici le résumé de son analyse sur la pandémie de Covid-19 qui met en lumière l’importance des virus et l’aberration complète de la réponse du système médical dans sa gestion et compréhension de la pandémie. Qu’est-ce qu’un virus Il y a 1031 virus dans l’air et encore ce nombre dans l’eau et encore ce nombre inimaginable dans les sols.  C’est plus que toutes les étoiles de l’univers.  Nous savons qu’il y a au moins 3 fois plus de bactéries dans notre microbiome, c’est-à-dire, dans le tube digestif et sur notre peau, que de cellules de notre propre corps.  Mais les virus sont encore plus nombreux en nous et sur nous. Il faut comprendre qu’un virus n’entre pas dans la définition d’un organisme vivant.  Il ne peut se reproduire seul, ne produit pas d’énergie, n’a pas de métabolisme proprement dit.  Un virus est un messager d’information, de l’information génétique.  Les virus sont présents depuis plus de 3 milliards d’années sur la planète et permettent l’échange d’informations génétiques entre les cellules d’un même organisme et entre les différents organismes d’un écosystème, et d’une planète. Certains virus sont créés par nos propres cellules.  On appelle ceux-ci des exosomes, ces vésicules sécrétées par nos cellules en réponse parfois à une atteinte toxique exogène ou un stress afin d’alerter d’autres cellules du corps. Les virus créent des protéines et celles-ci peuvent être régulées par notre système ou peuvent devenir une atteinte à notre système immunitaire lorsqu’elles deviennent incontrôlables.  En fait, le système immunitaire réagit à ces protéines et non au virus comme tel. Le corps à la capacité de réguler en temps normal la réplication des virus et leurs protéines en nous par le biais des certaines enzymes afin de recevoir l’information génétique que les virus transportent et de pouvoir faire une mise à niveau, comme un ‘’update’’ d’un programme informatique. Par exemple, en analysant les banques de sang datant des années 60, on a découvert que le virus du SIDA était déjà présent en Amérique du Nord, mais celui-ci était bien géré par la population, c’est-à-dire, ne créant pas de symptômes. Le tout est que le corps puisse s’adapter et gérer les codes génétiques que les virus partagent comme messagers sur la planète.   Comprendre la Pandémie Le coronavirus de la présente pandémie, à un lien très précis avec les récepteurs Ace-2 dans les poumons.  Ceci est critique afin de comprendre pourquoi certaines personnes sont plus à risque de développer des symptômes virulents en présence de ce coronavirus. La pollution atmosphérique Les émissions polluantes de la technologie humaines mettent en suspension des particules dites PM2.5, inférieures à 2,5 microns particulièrement dangereuses pour la santé.  Certaines d’entres elles comprennent une famille de toxines de cyanure qui se lie d’affinité avec les récepteurs Ace-2 dans les poumons. Le coronavirus s’agglomère à ces particules et ensemble, elles surchargent les récepteurs. Allons voir la suite pour comprendre le tout Les glyphosates Les glyphosates présents dans l’air, l’eau, la nourriture, les sols, sont une gamme de toxines perturbantes pour l’organisme humain.  Alors que les herbes indésirables des monocultures deviennent de plus en plus résistantes, les doses de Round up et autres pesticides augmentent et les compagnies ajoutent encore plus de produits toxiques afin de pouvoir gérer les cultures de soya, maïs, blé, etc. Les glyphosates dans le corps empêchent la production de certaines protéines en inhibant certaines chaînes enzymatiques spécifiques dont celle appelée Shikimate.  Cette inhibition empêche l’activation d’un gène précis qui permet le contrôle et l’adaptation aux virus en général. L’utilisation des glyphosates a commencé entre les années 1976 et 1980 et depuis, l’incidence de maladie chronique, les allergies, les maladies auto-immunes n’a fait qu’augmenter.  Le virus du SIDA à commencé à produire des symptômes dans les années 80 alors qu’il était déjà présent dans la population bien avant sans aucun problème. En 1992, l’année que les États-Unis ont commencé à arroser les monocultures de blé avec le Round-Up, il y a eu une recrudescence des symptômes liés au virus de Hépatite C. Les épicentres de la Pandémie de Covid-19 étaient en Chine dans les lieux les plus arrosés avec les glyphosates et où la pollution atmosphérique était la plus grande de toute la Chine.  Tout comme le nord de l’Italie, la région la plus dense en pollution atmosphérique et où on utilise des glyphosates qui empêchent l’adaptation au virus. Voyons les autres facteurs pour expliquer les symptômes chez les populations âgées et ayant déjà des antécédents médicaux. L’âge Avec l’âge, il y a une augmentation des récepteurs Ace-2 dans les poumons, ce qui permet de capter encore plus de coronavirus et plus de PM2,5 de cyanure. La médication Parmi toute la population, les gens qui ont eut le plus de complications avec le coronavirus étaient principalement ceux avec des antécédents de maladies cardiaques, de problèmes rénaux et de diabète.  Pourquoi?  Ils ont en commun deux classes de médications.  Les statines et des hypocholestérolémiants qui tous deux, ont comme effets secondaires d’augmenter les récepteurs Ace-2. On commence à comprendre plus clairement ce qui se passe. Vaccin contre la grippe En plus, des études viennent de démontrer que les gens ayant reçu le vaccin contre l’influenza avaient plus de chances de développer des symptômes

Élucidez la pandémie du Covid-19 avec Zach Bush MD Read More »

saving the earth of the covid-19 pandemic

Elucidate the Covid-19 Pandemic with Zach Bush MD

  To understand the reality behind the pandemic, we need to listen to and understand the American physician Zach Bush MD, who is bridging several disciplines to elucidate the Covid-19 pandemic.  This eminent physician is recognized by his peers in functional medicine as an « Einstein of medicine » and is one of the few to be three times « Board certified » in the world.  Zach Bush links the importance of biodiversity on earth and our microbiome with soil depletion, agriculture and the dramatic increase in toxins generated by human activity.  He points out how the use of glyphosates in pesticides used in particular on conventional and GMO crops is a virulent disruptor of population health and the rising incidence of chronic diseases is clearly linked since their emergence between 1976 and 1980. The following is a summary of his analysis of the Covid-19 pandemic that highlights the importance of viruses and the complete aberration of the medical system’s response in its management and understanding of the pandemic. What is a virus There are 1031 viruses in the air and again this number in the water and again this unimaginable number in the soil.  That’s more than all the stars in the universe.  We know that there are at least 3 times more bacteria in our microbiome, that is, in the digestive tract and on our skin, than there are cells in our own body.  But there are even more viruses in and on us. It is important to understand that a virus does not fit the definition of a living organism.  It cannot reproduce on its own, does not produce energy, has no metabolism as such.  A virus is a messenger of information, genetic information.  Viruses have been present on the planet for more than 3 billion years and allow the exchange of genetic information between the cells of the same organism and between the different organisms of an ecosystem and of a planet. Some viruses are created by our own cells.  These are called exosomes, vesicles secreted by our cells sometimes in response to exogenous toxic damage or stress to alert other cells in the body. Viruses create proteins and these can be regulated by our system or can become an attack on our immune system when they get out of control.  In fact, the immune system reacts to these proteins and not to the virus itself. The body has the ability to normally regulate the replication of viruses and their proteins within us through certain enzymes in order to receive the genetic information that viruses carry and to be able to make an upgrade, such as an « update » of a computer program. For example, by analyzing blood banks dating back to the 1960s, it was discovered that the AIDS virus was already present in North America, but it was well managed by the population, i.e., it did not create any symptoms. The point is that the body can adapt and manage the genetic codes that viruses share as messengers on the planet.   Understanding the Pandemic The coronavirus of the current pandemic has a very specific link to Ace-2 receptors in the lungs.  This is critical to understanding why some people are at greater risk of developing virulent symptoms in the presence of this coronavirus. Air pollution Polluting emissions from human technology suspend particles known as PM2.5, less than 2.5 microns, which are particularly dangerous to health.  Some of these include a family of cyanide toxins that bind affinity with Ace-2 receptors in the lungs. The coronavirus binds to these particles and together they overload the receptors. Let’s take a look at the rest to understand Glyphosates Glyphosates present in the air, water, food and soil are a range of toxins that are disruptive to the human body.  As undesirable weeds in monocultures become more and more resistant, the doses of Round up and other pesticides are increasing and companies are adding even more toxic products to manage soybean, corn, wheat, etc. crops. Glyphosates in the body prevent the production of certain proteins by inhibiting specific enzyme chains such as Shikimate.  This inhibition prevents the activation of a specific gene that allows the control and adaptation to viruses in general. The use of glyphosates began between the years 1976 and 1980 and since then, the incidence of chronic disease, allergies, autoimmune diseases has only increased.  The AIDS virus began producing symptoms in the 1980s when it was already present in the population long before without any problems. In 1992, the year the United States began spraying wheat monocultures with Round-Up, there was a resurgence of symptoms related to the Hepatitis C virus. The epicentres of the Covid-19 Pandemic were in China in the places where the most glyphosates were sprayed and where air pollution was the highest in all of China.  As was northern Italy, the region with the highest air pollution and where glyphosates are used to prevent adaptation to the virus. Let’s look at other factors to explain the symptoms in older populations with a medical history. Age With age, there is an increase in Ace-2 receptors in the lungs, which allows for the uptake of even more coronavirus and more PM2.5 cyanide. Medication Of the entire population, the people who had the most complications with coronavirus were mainly those with a history of heart disease, kidney problems and diabetes.  Why is this?  They share two common classes of medications.  Statins and cholesterol-lowering drugs, both of which have the side effect of increasing Ace-2 receptors. We’re beginning to understand more clearly what’s going on. Influenza vaccine In addition, studies have just shown that people who have received the influenza vaccine are more likely to develop coronavirus symptoms.  In fact, integrating the genetic information of influenza viruses makes it possible to better assimilate other coronaviruses.  To assimilate the genetic information and to have, as they say, « immunity ». Pandemic cocktail So an older person, exposed to air pollutants, with a medical history and taking specific medication and exposed to

Elucidate the Covid-19 Pandemic with Zach Bush MD Read More »

en_CAEnglish (Canada)